L’un des coûts les plus élevé des entreprises est le roulement du personnel. Un des plus grand défis est certainement de trouver le moyen de créer un environnement favorisant la mobilisation qui peut engendrer la productivité.
Non seulement il est coûteux de remplacer un employé qui quitte, mais ce changement affecte aussi le moral du reste de l’équipe qui reste. Humblement, dans un contexte actuel, je vous propose 10 façons avec lesquelles vous pourriez garder vos employés heureux et motivés, donc productif.
1. Ce n’est pas seulement une question d’argent
L’argent est un facteur important; vous ne pouvez pas payer quelqu’un 50% de leur valeur marchande et s’attendre qu’ils soient heureux et motivés. Mais, l’argent n’est pas tout. Les gens veulent évoluer, faire partie de quelque chose de plus grand qu’eux, et ils veulent la reconnaissance. Si vos employés sont malheureux et que vous pensez leur verser plus d’argent pour régler le problème, détrompez-vous.
2. Apprenez à dire «Merci»
Un simple «merci» peut faire un bon bout de chemin. Appelez vos meilleurs employés et les remercier d’être si bons dans ce qu’ils font, pourrait sembler farfelu. Vous pourriez leur démontrer comment leur travail et leurs réalisations ont contribués au succès de l’entreprise et les en remercier.
3. Utilisez un discours positif
Au lieu de dire, «Les données de ce rapport sont erronées”, essayez de dire, “Merci pour la finition de ce rapport si vite. Permettez-moi de vous montrer comment vous pourriez encore faire mieux la prochaine fois.” Voyez-vous la différence? Vous vous concentrez sur la façon dont il pourrait être mieux fait, pas la façon dont il est fait actuellement.
4. Faites les félicitations en publique et les réprimandes en privé
Toute entreprise, quelque-soit sa taille, doit se ré-inventer pour survivre la brutalité de la concurrence mondiale. La discipline de redressement et de restructuration doit se poser bien en amont de problèmes financiers ou opérationnels.
Wednesday, June 5, 2013
Employés heureux: meilleure performance!
Les
employés heureux au travail sont plus performants que ceux qui n’aiment pas
leur emploi. Ce n’est pas un cliché, les études et les experts le démontrent.
Ils s’absentent moins, sont plus enclins à rester fidèles à l’entreprise, vont
au-delà de ce qu’on attend d’eux et attirent d’autres ressources similaires. De
nombreux auteurs formulent des recettes pour que les troupes soient plus
motivées et que la productivité de l’entreprise soit ainsi améliorée. Ici
aussi, l’argent ne fait pas le bonheur, du moins, il ne suffit pas à la tâche.
Avec une génération Y difficile à garder en place, un taux de roulement très
élevé et une pénurie de main-d’œuvre, les entreprises touristiques ont tout
intérêt à combler de bonheur leurs équipes de travail!
De
grands groupes comme Hilton Worldwide et Marriott International se classent
très favorablement dans les palmarès des meilleurs employeurs. Leur structure,
leur culture d’entreprise et leurs ressources financières leur permettent de
développer des programmes pour motiver, stimuler et récompenser leurs
travailleurs. Mais l’engagement des employés envers la mission de
l’organisation n’est pas qu’une affaire de grandes entreprises, au contraire.
Voici quelques approches suggérées par des experts en matière de gestion des
ressources humaines pour la motivation du personnel.
De
la survie à l’accomplissement
Le
tandem récompense/punition comme outil de stimulation existe depuis toujours.
Autrefois, la motivation pour accomplir une tâche relevait souvent de la
survie. La paie, évidemment, constitue un moteur important pour
l’accomplissement d’un travail. Depuis les années 1960, les chercheurs
explorent toutefois davantage les motivations internes, comme la satisfaction
d’effectuer le travail.
Les
auteurs Edward Deci et Richard Ryan, de l’Université de Rochester, dans l’État
de New York, s’y intéressent depuis une quarantaine d’années. Ils ont développé
la Self-Determination Theory (SDT) ou théorie de l’autodétermination, qui a été
reprise et raffinée par d’autres experts dans différents pays. Cette théorie
rappelle l’importance de certains besoins psychologiques du travailleur.
Le plan d’affaires, ce qu’il faut savoir pour ne pas se décourager
Entendre
« plan d’affaires » c’est comme entendre « étude de marché » ou « demande de
financement » ça donne des sueurs froides. J’ai cherché les raisons qui vous
dispenseraient de faire un plan d’affaires… j’ai interrogé les conseillers du
SAJE dans l’espoir de vous annoncer une bonne nouvelle, mais non, tout le monde
ici est unanime : le plan d’affaires est une étape fortement conseillée si ce
n’est obligatoire. Je ne vais pas revenir ici sur ce qu’est un plan d’affaires,
mais je vais revenir sur les mesures qu’il vous faut prendre pour ne pas se
décourager et prendre du plaisir à le faire (oui oui, on peut prendre du
plaisir à rédiger son plan d’affaires).
Accepter
l’idée d’en faire un
«
Le plan d’affaires. Je n’en ai pas besoin. » Moi aussi j’ai toujours pensé
cela, et c’est ce qui fait, entre autres, que je suis encore salariée
aujourd’hui. Si l’idée de faire un plan d’affaires vous ennuie et vous
décourage, c’est que vous n’êtes peut-être pas encore prêt pour monter votre
entreprise. Car un plan d’affaires ce n’est pas seulement faire un devoir de 30
pages, c’est aussi comprendre le droit des affaires, déterminer ce que vous
pouvez faire ou pas, c’est comprendre la fiscalité, c’est bien choisir son
statut… bref, c’est bien pour rentrer petit à petit dans la peau d’un
entrepreneur.
Si
vous ne vous posez pas toutes ces questions dans le bon ordre (vous découvrirez
votre ordre à vous justement en faisant le plan d’affaires), vous pourriez
rester bloqué à chacune des étapes de votre processus de création. Alors, avant
de se décourager pendant l’effort, on accepte l’idée que le plan d’affaires,
c’est utile, même si on ne le sait que plus tard.
Tuesday, June 4, 2013
Conseils pour garder vos employés heureux sans vous ruiner
Les recherches sont unanimes. L’argent seul ne rend pas les employés
heureux. Les récompenses non-monétaires, judicieusement choisies, vous
aideront à garder vos employés mobilisés à long terme.
«Il y a malheureusement une croyance assez répandue dans les milieux d'affaires selon laquelle les employés sont payés pour leur travail et que cela leur suffit», dit Diane Bazire, conseillère d’affaires de BDC spécialisée en ressources humaines.
Elle encourage les entrepreneurs à mettre en place un programme structuré de récompenses non-monétaires. «Définissez les comportements et les résultats que vous souhaitez récompenser et établissez votre budget.»
Les avantages d’un programme de récompenses non-monétaires sont nombreux. Les employés sont plus heureux, plus mobilisés et plus productifs; l’absentéisme diminue; l’ambiance au travail est positive, et ce, sans que vous ayez à dépenser une fortune.
Mme Bazire suggère quelques récompenses non-monétaires peu coûteuses que les entrepreneurs peuvent offrir à leurs employés.
«Dire merci vaut de l’or», dit Mme Bazire. La reconnaissance peut prendre la forme d’un prix, d’une mention comme «l’employé du mois» ou «l’employé de l’année», d’une carte de remerciement ou, tout simplement, de félicitations présentées devant les collègues.
CONSEIL: Efforcez-vous d’être transparent, objectif et équitable pour éviter de donner l’impression que vous favorisez certains employés par rapport à d’autres.
Faites participer les employés à des activités qui leur tiennent à cœur. Mme Bazire donne l’exemple d’un concours pour trouver la meilleure façon de recycler les boîtes de carton que l’entreprise reçoit. L’employé qui a la meilleure idée se voit attribuer un jour de congé.
CONSEIL: Identifiez des problèmes qui touchent vos employés et qu’ils peuvent aider à résoudre.
CONSEIL: Investissez dans des cours de technologie pour que vos employés demeurent à jour dans ce domaine.
«Il y a malheureusement une croyance assez répandue dans les milieux d'affaires selon laquelle les employés sont payés pour leur travail et que cela leur suffit», dit Diane Bazire, conseillère d’affaires de BDC spécialisée en ressources humaines.
Elle encourage les entrepreneurs à mettre en place un programme structuré de récompenses non-monétaires. «Définissez les comportements et les résultats que vous souhaitez récompenser et établissez votre budget.»
Les avantages d’un programme de récompenses non-monétaires sont nombreux. Les employés sont plus heureux, plus mobilisés et plus productifs; l’absentéisme diminue; l’ambiance au travail est positive, et ce, sans que vous ayez à dépenser une fortune.
Mme Bazire suggère quelques récompenses non-monétaires peu coûteuses que les entrepreneurs peuvent offrir à leurs employés.
1. Reconnaître et apprécier
Reconnaître la contribution et les efforts des employés – surtout publiquement – est l’un des principaux facteurs de motivation et cela ne vous coûte pas un sou.«Dire merci vaut de l’or», dit Mme Bazire. La reconnaissance peut prendre la forme d’un prix, d’une mention comme «l’employé du mois» ou «l’employé de l’année», d’une carte de remerciement ou, tout simplement, de félicitations présentées devant les collègues.
CONSEIL: Efforcez-vous d’être transparent, objectif et équitable pour éviter de donner l’impression que vous favorisez certains employés par rapport à d’autres.
2. Donner la possibilité de faire une différence
Les employés sont plus mobilisés s’ils ont le sentiment de travailler dans une équipe où leur voix se fait entendre. Renforcez le sentiment d’appartenance à l’entreprise de vos employés en communiquant avec eux régulièrement. Écoutez leurs opinions. D’excellentes idées peuvent en surgir.Faites participer les employés à des activités qui leur tiennent à cœur. Mme Bazire donne l’exemple d’un concours pour trouver la meilleure façon de recycler les boîtes de carton que l’entreprise reçoit. L’employé qui a la meilleure idée se voit attribuer un jour de congé.
CONSEIL: Identifiez des problèmes qui touchent vos employés et qu’ils peuvent aider à résoudre.
3. Viser la formation continue
Quel que soit le domaine d’activité de votre entreprise, offrir à vos employés la possibilité de se perfectionner en leur donnant accès à des programmes de formation continue est un excellent facteur de motivation. Les cours, les conférences, les bourses d’étude et le mentorat sont essentiels au développement de vos employés.CONSEIL: Investissez dans des cours de technologie pour que vos employés demeurent à jour dans ce domaine.
4. Offrir des horaires flexibles
La restructuration de l'entreprise : par quels moyens ?
La restructuration d’une entreprise est l’opération économique et
financière qui vise à remanier la structure de l’entreprise. Les causes
poussant à la restructuration d’une entreprise peuvent être diverses,
allant de la détresse financière, à la volonté de s’adapter aux
évolutions du marché. La restructuration est généralement organisée en
deux temps :
La première phase touche au système organisationnel de l’entreprise, c’est l’activité de l’entreprise qui est revue. La restructuration pourra ainsi consister en une délocalisation d’activités, en l’abandon de certaines branches d’activités, en l’externalisation de certaines fonctions ou encore la cession de l’activité de l’entreprise. Cette restructuration est dite économique
Dans un second temps, la restructuration est financière. C’est le passif qui est ici en cause. Le capital pourra ainsi être augmenté afin d’améliorer la structure financière de l’entreprise. Les créances pourront également être renégociées. Des mesures seront proposées aux créanciers allant du rééchelonnement des dettes jusqu’à l’abandon partiel ou total de certaines créances.
Il existe différentes procédures visant à la restructuration. Les entreprises en difficultés mais qui ne sont pas encore en cessation des paiements et qui souhaitent procéder à une restructuration on le choix parmi 3 procédures :
• Le mandat ad hoc : l’objectif de cette mesure est de permettre une négociation confidentielle et à l'amiable des difficultés que rencontre l’entreprise, qu’il s’agisse de difficultés financières ou sociales. C’est sur demande du chef d’entreprise que le président du tribunal de commerce désigne un mandataire ad hoc chargé d’aider le dirigeant à trouver une solution aux difficultés rencontrées. Le dirigeant conserve tous ses pouvoirs. Une fois qu’un accord est trouvé, il est présenté aux parties en causes (créanciers, salariés ou autres), dès lors qu’il est signé cet accord à force obligatoire entre les signataires comme n’importe quel contrat.
• La conciliation
La première phase touche au système organisationnel de l’entreprise, c’est l’activité de l’entreprise qui est revue. La restructuration pourra ainsi consister en une délocalisation d’activités, en l’abandon de certaines branches d’activités, en l’externalisation de certaines fonctions ou encore la cession de l’activité de l’entreprise. Cette restructuration est dite économique
Dans un second temps, la restructuration est financière. C’est le passif qui est ici en cause. Le capital pourra ainsi être augmenté afin d’améliorer la structure financière de l’entreprise. Les créances pourront également être renégociées. Des mesures seront proposées aux créanciers allant du rééchelonnement des dettes jusqu’à l’abandon partiel ou total de certaines créances.
Il existe différentes procédures visant à la restructuration. Les entreprises en difficultés mais qui ne sont pas encore en cessation des paiements et qui souhaitent procéder à une restructuration on le choix parmi 3 procédures :
• Le mandat ad hoc : l’objectif de cette mesure est de permettre une négociation confidentielle et à l'amiable des difficultés que rencontre l’entreprise, qu’il s’agisse de difficultés financières ou sociales. C’est sur demande du chef d’entreprise que le président du tribunal de commerce désigne un mandataire ad hoc chargé d’aider le dirigeant à trouver une solution aux difficultés rencontrées. Le dirigeant conserve tous ses pouvoirs. Une fois qu’un accord est trouvé, il est présenté aux parties en causes (créanciers, salariés ou autres), dès lors qu’il est signé cet accord à force obligatoire entre les signataires comme n’importe quel contrat.
• La conciliation
Pourquoi rédiger un Plan d'Affaires
Un business plan constitue la pierre angulaire du démarrage d’une entreprise. C’est également un outil essentiel pour contrôler
et orienter le développement et la croissance de votre entreprise.
C’est vrai que ceux qui parlent de business plan n’en parlent souvent
que dans un contexte où il faille trouver du financement pour son projet
de création ou de développement. On met souvent tout en œuvre pour
convaincre les investisseurs et banquiers (parfois on énumère de fausses
informations). Deux mois plus tard le fameux plan d’affaires a fini
d’être oublié. Mais il y a mieux et un business plan est utile pour
beaucoup d’autres choses que la recherche de financement. Voici dix
bonnes raisons pour écrire un business plan :
Le business plan est un outil fondamental pour tout investisseur. C’est sur la base des informations contenues dans votre plan d’affaires qu’il prend ou non la décision de vous accompagner financièrement dans la mise en œuvre de votre projet. Rares sont les financiers qui seront prêts à investir leur argent dans votre affaire s’il ne trouve pas de réponse à un certain nombre de questions. Que voulez-vous vendre ? A qui voulez-vous vendre? Pourquoi les clients achèteront-ils chez vous plus tôt qu’ailleurs? Qui êtes-vous pour être capable de réussir ? De combien avez-vous besoin ? Quel intérêt ont-ils à vous financer? Votre business plan doit pouvoir donner des réponses à ces différentes questions. La rédaction d’un plan d’affaires est toujours précédée d’un processus de questionnement à travers lequel vous recherchez vous-même des réponses aux questions énumérées plus haut. Dans la plupart des cas, lorsque vous faites l’effort de ne pas accepter l’illusion du « ça marchera forcément », le processus de planification de votre affaire vous permet d’identifier vos opportunités et menaces, de limiter les risques et de tirer le meilleur des opportunités qui s’offrent à vous. Définir les différents aspects et activités liés à votre entreprise. Votre plan d’affaires donnera un aperçu général sur les divers aspects liés à votre entreprise. Vous devrez pouvoir dire qui, ce qui, où, quand et comment vous allez mener et gérer les activités quotidiennes de votre entreprise, les coûts, la rentabilité projetée. Vos repères constituent là où vous aimeriez voir votre entreprise dans six mois, dans un an, ou dans cinq mois. Ceci est essentiel pour vos investisseurs potentiels. Et ce n’est pas fini : il n’y a pas de vent favorable pour qui ne sait où il va. Fixez des objectifs réalistes ainsi que des indicateurs de réussite qui vous servent de référence à vous-même et à vos employés. Au cours de l’élaboration du business plan, vous aurez à rechercher l’information sur le marché, l’analyser et traduire les informations en données à partir desquelles vous définirez les stratégies de lancement, de gestion et de développement de votre entreprise sur un marché. C’est une riche démarche qui vous permet de bien cerner le marché et d’avoir un plan d’attaque claire et efficace. Obtenir des fonds supplémentaires.
Le business plan est un outil fondamental pour tout investisseur. C’est sur la base des informations contenues dans votre plan d’affaires qu’il prend ou non la décision de vous accompagner financièrement dans la mise en œuvre de votre projet. Rares sont les financiers qui seront prêts à investir leur argent dans votre affaire s’il ne trouve pas de réponse à un certain nombre de questions. Que voulez-vous vendre ? A qui voulez-vous vendre? Pourquoi les clients achèteront-ils chez vous plus tôt qu’ailleurs? Qui êtes-vous pour être capable de réussir ? De combien avez-vous besoin ? Quel intérêt ont-ils à vous financer? Votre business plan doit pouvoir donner des réponses à ces différentes questions. La rédaction d’un plan d’affaires est toujours précédée d’un processus de questionnement à travers lequel vous recherchez vous-même des réponses aux questions énumérées plus haut. Dans la plupart des cas, lorsque vous faites l’effort de ne pas accepter l’illusion du « ça marchera forcément », le processus de planification de votre affaire vous permet d’identifier vos opportunités et menaces, de limiter les risques et de tirer le meilleur des opportunités qui s’offrent à vous. Définir les différents aspects et activités liés à votre entreprise. Votre plan d’affaires donnera un aperçu général sur les divers aspects liés à votre entreprise. Vous devrez pouvoir dire qui, ce qui, où, quand et comment vous allez mener et gérer les activités quotidiennes de votre entreprise, les coûts, la rentabilité projetée. Vos repères constituent là où vous aimeriez voir votre entreprise dans six mois, dans un an, ou dans cinq mois. Ceci est essentiel pour vos investisseurs potentiels. Et ce n’est pas fini : il n’y a pas de vent favorable pour qui ne sait où il va. Fixez des objectifs réalistes ainsi que des indicateurs de réussite qui vous servent de référence à vous-même et à vos employés. Au cours de l’élaboration du business plan, vous aurez à rechercher l’information sur le marché, l’analyser et traduire les informations en données à partir desquelles vous définirez les stratégies de lancement, de gestion et de développement de votre entreprise sur un marché. C’est une riche démarche qui vous permet de bien cerner le marché et d’avoir un plan d’attaque claire et efficace. Obtenir des fonds supplémentaires.
Que faire après le conseil en stratégie?
Les directions de grands groupes, les fonds d’investissements, les
banques d’affaires sont autant d’opportunités de carrières que
chérissent les consultants en stratégie. Quelles sont les opportunités
réelles offertes au sortir du conseil ?
Beaucoup de raisons peuvent pousser le consultant à quitter le monde du conseil en stratégie : les horaires, la pression, la charge de travail parfois même l’impression que le produit final est toujours le même et souvent inutile.
De plus, le conseil en stratégie n’est pas une fin en soi pour beaucoup de consultants, mais une continuité du parcours académique qui offre aux consultants des débouchés vers des voies royales parmi lesquelles : la finance, les directions de grands groupes, et l’entreprenariat.
Une étude qui sera publiée prochainement par WIT Associés montre que ces voies sont empruntées plus ou moins fréquemment selon les grades :
Les directions générales des grands groupes sont aussi assez enclines à engager d’anciens consultants pour leur expertise. D’EADS à Vivendi en passant par BNP Paribas, les cabinets de conseils sont un vivier prolifique de collaborateurs.
En effet, après plusieurs années passées au sein d’une certaine practice, le consultant devient de facto un expert du domaine, son réseau et sa spécialisation lui confèrent une expertise dans certains secteurs de l’industrie. De plus, le consultant développe plus rapidement certaines qualités indispensables pour interagir avec des responsables aux plus hauts niveaux des grands groupes comme des qualités relationnelles, la capacité à réfléchir vite et travailler dur ou encore des approches pour résoudre les problèmes business et créer de la valeur. Il intuite rapidement des tactiques ou outils utiles aux situations auxquelles sont confrontées les entreprises. En dehors de la stratégie, le profil de consultant correspond aux rôles impliquant la recherche, l’analyse, la coordination de projet et le management. Ces fonctions sont celles du business development, du corporate development, du M&A et du middle-management.
Les consultants choisissent les grands groupes car ce sont souvent les seuls à pouvoir leur apporter une diminution de leurs horaires et une amélioration de leur environnement de travail, pour un salaire quasiment équivalent. De plus grâce à leurs réseaux (écoles, cabinets, clients…), les consultants peuvent plus facilement trouver des opportunités dans des groupes prestigieux.
Cependant passer à l’industrie dans un grand groupe présente certains désagréments parmi lesquels, moins de flexibilité, plus de politique, moins de rythme et de complicité.
Enfin, les jobs en les directions stratégiques des grands groupes sont rares, donc chers, se sont surtout des jeunes avec 3 à 4 expériences qui les décrochent. En effet, les débouchés sont limités au sein de ces directions stratégiques pour trois raisons :
Beaucoup de raisons peuvent pousser le consultant à quitter le monde du conseil en stratégie : les horaires, la pression, la charge de travail parfois même l’impression que le produit final est toujours le même et souvent inutile.
De plus, le conseil en stratégie n’est pas une fin en soi pour beaucoup de consultants, mais une continuité du parcours académique qui offre aux consultants des débouchés vers des voies royales parmi lesquelles : la finance, les directions de grands groupes, et l’entreprenariat.
Une étude qui sera publiée prochainement par WIT Associés montre que ces voies sont empruntées plus ou moins fréquemment selon les grades :
- De junior à senior : finance, direction stratégiques de grands groupes, entreprenariat
- De senior à Partner : services financiers, finance, directions de grands groupes
Un accélérateur de carrière dans les grands groupes
La réponse la plus fréquente à « que faire après du conseil » est bien sûr de travailler au sein des directions stratégiques des grandes entreprises, de préférence dans le secteur qui vous intéresse. C’est le rêve inavoué – ou pas – de la plupart des consultants en stratégie.Les directions générales des grands groupes sont aussi assez enclines à engager d’anciens consultants pour leur expertise. D’EADS à Vivendi en passant par BNP Paribas, les cabinets de conseils sont un vivier prolifique de collaborateurs.
En effet, après plusieurs années passées au sein d’une certaine practice, le consultant devient de facto un expert du domaine, son réseau et sa spécialisation lui confèrent une expertise dans certains secteurs de l’industrie. De plus, le consultant développe plus rapidement certaines qualités indispensables pour interagir avec des responsables aux plus hauts niveaux des grands groupes comme des qualités relationnelles, la capacité à réfléchir vite et travailler dur ou encore des approches pour résoudre les problèmes business et créer de la valeur. Il intuite rapidement des tactiques ou outils utiles aux situations auxquelles sont confrontées les entreprises. En dehors de la stratégie, le profil de consultant correspond aux rôles impliquant la recherche, l’analyse, la coordination de projet et le management. Ces fonctions sont celles du business development, du corporate development, du M&A et du middle-management.
Les consultants choisissent les grands groupes car ce sont souvent les seuls à pouvoir leur apporter une diminution de leurs horaires et une amélioration de leur environnement de travail, pour un salaire quasiment équivalent. De plus grâce à leurs réseaux (écoles, cabinets, clients…), les consultants peuvent plus facilement trouver des opportunités dans des groupes prestigieux.
Cependant passer à l’industrie dans un grand groupe présente certains désagréments parmi lesquels, moins de flexibilité, plus de politique, moins de rythme et de complicité.
Enfin, les jobs en les directions stratégiques des grands groupes sont rares, donc chers, se sont surtout des jeunes avec 3 à 4 expériences qui les décrochent. En effet, les débouchés sont limités au sein de ces directions stratégiques pour trois raisons :
- Le nombre de ces directions, ainsi que leurs effectifs, sont vraiment limités
- Ces postes peuvent être plus ou moins clairement réservés à des promotions internes
- La croissance de ces départements est limitée par… le recours aux cabinets de conseil en stratégie
- Les directions stratégiques coutent chères et ne rapportent pas immédiatement
La voie royale pour accéder aux métiers de la finance ?
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Guide de préparation d’un plan d’affaires et de marketing
Le présent
guide est conçu pour vous aider à esquisser un plan détaillé de votre
entreprise qui soit complet, stratégique et efficace – le fondement de votre
succès!
Votre plan
d’affaires est l’un des outils les plus importants pour planifier l’avenir de
votre entreprise. Il expose les grandes lignes de votre vision, ce que vous
voulez accomplir et comment vous prévoyez y parvenir. Le processus de
constitution de ce plan vous aide à jeter les bases de votre entreprise – en
vous préparant aux obstacles, en attribuant les ressources et en planifiant les
possibilités. Il s’agit également d’un document évolutif qui devrait être mis à
jour à mesure que votre entreprise évolue au fil du temps.
Un bon
plan d’affaires, qui comprend un plan de marketing efficace, présente également
votre analyse de rentabilisation au monde extérieur. Il s’agit d’un facteur clé
pour attirer et retenir des investisseurs. Souvent, c’est le premier document
que les organismes prêteurs veulent voir.
Alors,
comment élaborer un plan d’affaires et de marketing efficace?
Vous
commencez le processus en vous concentrant sur quelques éléments clés –
établissez d’abord vos objectifs opérationnels de base. Ensuite, en vous
fondant sur des recherches sérieuses, déterminez à quels défis et occasions
votre entreprise pourrait faire face. Poursuivez en déterminant clairement vos
marchés cibles et votre concurrence. Finalement, étudiez et planifiez toutes
les exigences opérationnelles et financières à combler pour atteindre vos
objectifs.
Les plans
d’affaires et de marketing efficaces sont très approfondis; ils anticipent les
questions des lecteurs avant qu’ils ne les posent – et y répondent. C’est
pourquoi l’élaboration d’un bon plan peut vous aider à mieux définir les
objectifs, idées et plans que vous avez en tête avant de les mettre sur papier.
Pour
étoffer un plan d’affaires et de marketing détaillé et convaincant, il faut
franchir de nombreuses étapes et tenir compte de nombreux détails. Voici doncquelques lignes directrices générales à avoir en tête lorsque vous commencez :
Preparer Un Plan Pour Croissance
La planification est fondamentale pour toute entreprise tout
au long de son existence. Chaque entreprise fructueuse examine périodiquement
son plan d'affaires pour s'assurer qu'il continue à satisfaire ses besoins. Il
est judicieux d'examiner le rendement actuel de façon régulière et d'identifier
les stratégies les plus probables en matière de croissance.
Lorsque vous aurez effectué l'examen de votre avancement et
identifié les domaines clés de croissance que vous voulez cibler, ce sera le
moment de revisiter votre plan d'affaires et de le transformer en feuille de
route vers les prochaines étapes pour votre entreprise.
Ce guide vous montrera de quelle façon transformer votre
plan d'affaires d'un document statique en modèle dynamique qui aidera votre
entreprise à la fois à survivre et à prospérer.
• Importance
d'une planification des affaires continue
• Ce que
votre plan d'affaires doit comprendre
• Rédaction
d'un plan d'affaires plus sophistiqué
• Planification
et allocation efficaces des ressources
• Utilisation
de cibles pour mettre en œuvre votre plan d'affaires
• Quand et
comment réviser votre plan d'affaires
Importance d'une planification des affaires continue
La plupart des investisseurs éventuels voudront voir un plan
d'affaires avant d'envisager le financement de votre entreprise. Bien qu'un
grand nombre d'entreprises soient tentées d'utiliser leur plan d'affaires
uniquement à cette fin, un bon plan devrait indiquer la voie à suivre par
l'entreprise tout au long de son existence.
Un plan d'affaires joue un rôle clé dans l'allocation des
ressources dans toute l'entreprise. Il s'agit d'un outil qui peut vous aider à
attirer de nouveaux fonds ou que vous pouvez utiliser en tant que document
stratégique. Un bon plan d'affaires révèle de quelle façon vous utiliseriez le
prêt bancaire ou l'investissement que vous demandez.
La planification continue des affaires signifie que vous pouvez
surveiller l'atteinte de vos objectifs d'entreprise. Un plan d'affaires peut
être utilisé comme outil pour identifier votre position actuelle et dans quelle
direction vous souhaitez que votre entreprise se développe. Un plan d'affaires
garantira également que vous respectez certaines cibles et gérez des priorités
d'affaires.
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