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Tuesday, June 3, 2014

Fonctionnement et grands principes, la levée de fonds pour les nuls



Vous êtes à la tête d’une startup et vous aimeriez lever des fonds ? Vous vous intéressez à l’entrepreneuriat et vous êtes complètement perdu quand vous entendez parler de « capital-risque », « Business Angel », « Executive Summary » ou encore « Due Diligence » ? Voici quelques éléments pour vous aider à comprendre ce qu’est la levée de fonds, comment elle fonctionne et pourquoi elle représente une étape quasi incontournable du développement d’entreprise.

La levée de fonds…c’est quoi en fait ? Et ça concerne qui ?

La levée de fonds est un processus complexe qui consiste à faire appel aux investisseurs extérieurs pour qu’ils apportent les fonds nécessaires au démarrage, lancement, ou développement de l’entreprise.

Les investisseurs entrent au capital de la société et reçoivent en contre partie des titres de participation émis par la société. Ils participent donc par la suite aux assemblés générales de l’entreprise.

Il s’agit en somme d’une augmentation de capital pour l’entreprise. Les investisseurs investissent le plus souvent dans l’espoir d’une multiplication de leur mise de départ et donc d’un retour sur investissement par la croissance rapide de la société concernée.

En fonction du stade de développement de l’entreprise, la levée de fonds va prendre différentes formes :

    Capital amorçage (forme du capital-risque) : l’entreprise est dans la première phase de son développement. Il s’agit de financer le démarrage de l’activité, les premiers besoins, pour des montants souvent peu élevés.

    Capital développement : l’entreprise veut entrer dans la seconde phase de son développement et a besoin de fonds conséquents pour cela. Cette accélération de la croissance passe généralement par des projets de grande envergure ou par l’internationalisation.

La levée de fonds s’adresse avant tout aux entreprises à fort potentiel de développement. Les investisseurs peuvent être intéressés par plusieurs profils d’entreprise, entreprises à très fort potentiel de croissance (capital-risque), entreprises dégageant déjà une rentabilité conséquente (capital-développement).

Tuesday, January 28, 2014

Cinq conseils avant de vous lancer en affaires



Vous hésitez à faire le grand saut dans le monde des affaires. Nous avons pour vous cinq conseils simples pour vous aider à prendre votre décision.





Voici nos cinq conseils avant de vous lancer en affaires

1- Évaluer vos compétences

Pour réussir en affaires, il faut avoir des compétences techniques reliées au secteur de l’entreprise. Cependant, il faut beaucoup plus. Au démarrage de votre entreprise, vous serez responsable des ventes, de la comptabilité, de la gestion des ressources humaines et tous les autres secteurs de l’entreprise. Au départ, vous n’aurez probablement pas les moyens de vous entourer de conseiller dans ces domaines. Donc, vous devez avoir certaines attitudes reliées à ces tâches.

2- Pesez le pour et le contre

Être à la tête d’une entreprise pourra facilement vous demander 50, 60 et même des fois plus de 70 heures par semaine. Avant de débuter un projet, on doit se demander si on a vraiment le goût d’une telle aventure. Si vous n’êtes pas passionné par votre projet d’entreprise vous n’aurez pas une longue carrière comme entrepreneur. Vous devez également tenir compte des concessions que vous devrez faire. Jusqu’où seriez-vous prêt à aller pour atteindre vos objectifs? Comment concilieriez-vous vos activités avec votre vie familiale?

3- Rédiger un plan d’affaires

Il est prouvé que les gens qui ont investi du temps dans la rédaction d’un plan d’affaires ont un taux de survie plus élevé lorsqu’il démarre une entreprise. Même si vous croyez avoir une excellente idée de projet d’entreprise, il est préférable avant d’y investir temps et une partie de vos économies de prendre le temps de mettre par écrit votre projet. D’abord, c’est indispensable quand on veut renseigner et rassurer les investisseurs potentiels. Et plus, le plan d’affaires vous permettra de préciser vos objectifs. 

Le redressement d’entreprises en difficulté


Dans le contexte économique d’incertitude actuel, marqué par la crise financière qui secoue le monde mais surtout par une concurrence rude, de nombreuses entreprises voient leurs survies de plus en plus menacées par la triste réalité qui est la banqueroute.

L’un des moteurs essentiel de la réussite d’une entreprise passe par la qualité des produits mais également par un plan de financement. En effet, l’émergence de la qualité est un facteur stratégique de la croissance d’une entreprise et par conséquent de sa survie. Pour améliorer l’organisation et le fonctionnement d’une entreprise, la mise en œuvre d’un management de la qualité et d’un plan de financement s’impose.

Face aux difficultés de leurs entreprises, de nombreux entrepreneurs s’efforcent de rechercher des solutions adaptées pour parer à toute éventualité, notamment, celle du dépôt de bilan. Le redressement d’une entreprise en difficulté passe par la prise de conscience des défauts de gestion et de l’absence d’une conception claire de management.

Ces experts de la reprises tentent de remettre à flot le plus rapidement possible les entreprises aux bord du gouffre, parfois décriées leurs méthodes drastiques restent néanmoins un mal nécessaire afin d’éviter le précipice de la liquidation judiciaire.

La menace d’une banqueroute

Les entreprises qui sont en situation de passivité connaissent des difficultés financières, une perte de position sur leur marché, un manque de structuration mais aussi une dégradation financière et par conséquent l’augmentation de l’endettement.

La première phase de crise se résume par la stagnation des produits de vente, par la diminution de la rentabilité et par l’augmentation des coûts. Certaines entreprises se retrouvent du jour au lendemain sans ressources pour sortir d’un environnement concurrentiel. Comment ces entreprises pourront-elles se défendre ou survivre dans leur marché si elles ne se mettent pas à niveau le plus tôt possible, car, la menace planant sur leur tête, elles doivent se maintenir ou disparaître. 

Tuesday, September 24, 2013

Combattre l’absentéisme et améliorer la productivité de votre entreprise



Entre les retards de production, le maintien des salaires des salariés absents et le coût de leur remplacement, les absences coûtent cher aux entreprises.

Pour parvenir à lutter efficacement contre l’absentéisme, il est nécessaire de procéder à une analyse préalable de la situation de votre entreprise. Vous devez absolument réfléchir aux causes du phénomène, pour espérer ensuite trouver les moyens d’action les plus adaptés.

Évaluer l’ampleur des absences dans l’entreprise


La cause des absences, la durée des arrêts de travail, leur fréquence, leurs conséquences et le coût qu’elles représentent sont toujours variables. Vous devez donc identifier, en fonction de votre propre entreprise, quelles sont les absences à prendre en compte, pour ensuite faire « parler les chiffres » et calculer un taux d’absentéisme.

Identifier les types d’absences

Les absences ont diverses origines. Il est nécessaire d’identifier celles sur lesquelles vous pouvez agir et qui entraînent un coût direct pour l’entreprise (réduction des accidents du travail par une politique de prévention des risques, par exemple).

Vous mettrez donc de côté les congés payés, jours de RTT, de formation, congés pour événements familiaux, congés sans solde que vous avez acceptés, etc.

A l’inverse, vous pourrez prendre en compte les absences pour maladie, les accidents de trajet et de travail, les maladies professionnelles, les congés maternité, les absences pour convenances personnelles, sans motif, les retards, et l’ensemble des absences injustifiées.

Il s’agira d’identifier chaque absence au cas par cas. En effet, plusieurs congés maternité simultanés peuvent faire monter le taux d'absentéisme de façon importante et masquer ainsi une situation sans gravité.

De même, les absences pour maladie sont à analyser selon leur durée : un arrêt de travail qui porte sur plus d'1 mois correspond à des problèmes sérieux de santé indépendants de toute action de votre part.

Mettez en place un tableau des absences, qui facilitera votre travail d’identification et vous permettra d’établir des statistiques.





Comment développer un guide de l'employé efficace



En tant que dirigeant d’une petite entreprise, vous pouvez éviter les embarras juridiques en précisant clairement par écrit ce que vous attendez des personnes qui travaillent pour vous. De manière générale, vous n’avez pas besoin de développer un accord d’emploi séparé pour chacun de vos employés. Un guide de l’employé détaillant les politiques de votre société suffira.

Un guide de l’employé réussi permet de réduire les méprises. Votre personnel aura une idée précise de vos politiques d’entreprises, et saura où trouver les réponses à ses questions de base. Ce qui est encore plus important est le fait qu’il vous permettra d’éviter un procès coûteux si quelqu’un vous accusait d’avoir des politiques injustes ou discriminatoires.

Les conseils pratiques ci-dessous vous aideront à créer un document qui rendra de grands services à votre société.
   
Ce qu’il faut inclure 

Votre guide de l’employé devrait indiquer clairement les politiques de votre société. Parmi les domaines qu’il devrait aborder, l’on trouve :

• les heures de travail générales
• les règles et règlements de la société (le code vestimentaire; la manière dont les gens dialoguent avec les clients ; les règlements de sécurité ; etc.)
• comment obtenir des vacances
• les congés payés et les jours personnels
• les congés de maladie
• le salaire et l'évaluation des performances
• la politique concernant les heures supplémentaires/indemnités
• les allocations de maladie et médicales
• le régime de retraite et autres avantages sociaux
• la politique concernant la maternité
• toutes autres règles ou règlements

Soyez clair(e) et concis(e), et surtout consistant(e)

L’objectif de votre guide de l’employé est de communiquer les politiques de votre société à vos employés. Il est essentiel qu’il soit rédigé de manière claire et directe, pour éviter toute confusion. Il devrait préciser vos politiques de ressources humaines spécifiques.