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Wednesday, June 4, 2014

Devenir consultant : six pistes pour partir d'un bon pied



En période de crise et de malaise du management, la tentation est forte de quitter le salariat pour devenir consultant à son compte. Mais attention : l'expertise et le réseau ne sont pas toujours suffisants pour réussir son pari. S'il n'existe pas de recettes pour réussir ce changement de vie, voici les conseils incontournables pour mûrir votre réflexion et éviter les pièges les plus fréquents.

1. Clarifier ses intentions
  
Devenir consultant est-il aujourd'hui davantage un choix par défaut ou signe d'une volonté de s'épanouir dans sa carrière ? Tout dépend de son âge et des circonstances professionnelles. Mais aux dires des experts, la lassitude des managers ne serait pas étrangère à ce choix : " Depuis trois ans, on voit de plus en plus de cadres arriver en formation parce qu'ils sont usés par le management, le stress et l'obsession des résultats qui contaminent les entreprises ", constate Yves-André Perez, qui forme depuis vingt ans de futurs consultants à l'IDCE (Institut pour le développement du conseil et de l'entreprise). Le profil-type : des cadres de 40 à 50 ans, aguerris et expérimentés, fatigués des aléas de l'entreprise ou sentant le marché tourner en leur défaveur, âge oblige. " J'en avais assez d'être à des postes aussi exposés. Après dix-sept ans de salariat, j'étais physiquement exténuée ", témoigne Sandrine, ex-directrice de la communication qui a lancé seule son agence conseil en communication à 42 ans, après avoir fait carrière dans l'industrie high-tech et les collectivités locales. 

Mais phénomène récent, les quadras ne sont pas les seuls à franchir le cap. " On voit aussi arriver de jeunes cadres de 30 à 35 ans, désabusés par le monde de l'entreprise, qui souhaitent s'orienter dans le conseil, et devenir leur propre patron ", remarque Hervé Dechêne, co-fondateur du cabinet de conseil à la création d'entreprise AZ Initiatys. 

Quatre Mesures Pour Sauver Votre Entreprise



Même si vous traversez des difficultés, il est possible de remonter la pente. Outre le dépôt de bilan, de récents dispositifs vous permettent de vous remettre à flot. A condition de vous y prendre à temps.

METHODE 1

Le mandat ad hoc, à enclencher dès les premiers signes d'alerte
Sommaire du dossier
  •     Vocabulaires comptables et notions finançières
  •     Déchiffrez vos comptes
  •     Des spécialistes à votre service
  •     Optimisez votre trésorerie
  •     Maîtrisez les notes de frais
  •     Gestion de crise
  •     Bibliographie

Le mandat ad hoc est la toute première procédure préventive des défaillances d'entreprise. Il faut donc y recourir dès l'apparition des difficultés, avant qu'il ne soit trop tard.

Vous recevez des appels de plus en plus pressants de votre banquier et de vos fournisseurs et n'avez plus de nouvelles de votre plus gros client, qui tarde à régler sa créance? C'est peut-être le moment de vous poser cette question: est-ce une crise passagère ou les signes avant-coureurs d'une dégradation durable de votre activité? Dans le second cas, vous avez tout intérêt à déclencher une procédure de mandat ad hoc. Il s'agit d'un mécanisme par lequel vous demandez au tribunal de commerce de nommer une personne indépendante, extérieure à l'entreprise, pour vous aider à analyser votre situation et à mettre en oeuvre des solutions de redressement. A la condition expresse que votre société ne soit pas déjà en cessation de paiement. «Le dirigeant doit réagir le plus tôt possible, insiste Henri Chriqui, administrateur judiciaire et auteur de Prévenir pour mieux guérir Voir encadré page 48 . S'il prend conscience à temps de ses difficultés, un traitement homéopathique est encore possible. Faut de quoi, il risque d'avoir à subir un traitement de choc!»

Comment enclencher la procédure? Vous devez en faire la demande écrite auprès du tribunal de commerce, en exposant la situation, les difficultés et les solutions envisagées. 

Faire un business plan : exemple de business plan



Le business plan est un véritable acte de foi du créateur d'entreprise, il doit démontrer la solidité de l'initiative en exposant les différentes informations de manière très structurée.

Le business plan est le document de référence  qui va vous permettre, à vous, à votre entourage et aux futurs investisseurs, d'avoir une idée juste du projet. Le business plan a pour principal objectif de séduire  le(s) investisseur(s) potentiel(s). C'est grâce à ce document qu'ils vont décider (ou non) d'aller plus loin avec vous.

Vous devez commencer à cerner l'importance capitale de ce document dans la décision finale des investisseurs. De sa qualité, de son exhaustivité et de la qualité des informations qu'il contient, va dépendre le succès de votre demande de financement... C'est pourquoi il est important de soigner autant que faire ce peut, son business plan.

Construction d'un business plan : comment structurer le business plan ?

La construction du business plan suit généralement un raisonnement logique, qui démontre étape par étape que :
  
1. L’activité envisagée peut générer des bénéfices importants :

  • il existe un besoin fort non satisfait
  • la solution envisagée répond à ce besoin et suffisamment attractive pour déclencher un acte d’achat
  • ce besoin concerne un nombre de clients potentiels important
  • cette activité générera un CA important et sera rentable

    L’équipe comporte des profils complémentaires qui rassemblent :
  • l’expérience et les contacts sur le marché
  • la capacité à gérer une entreprise;
        
   L’entreprise aura une part de marché importante et durable :
  • les concurrents avérés ou potentiels sont identifiés
  • l’entreprise bénéficie d’avantages concurrentiels
  • les concurrents sont pénalisés

Quels éléments inclure dans le business plan ? Un modèle de business plan ?

Il n’existe pas de modèle universel de business plan convenant à tous les projets. Celui-ci peut comporter les chapitres et éléments suivants :

Tuesday, January 28, 2014

Une démarche pour attirer et retenir les meilleurs employés


Attirer une main-d’oeuvre de qualité et la fidéliser sont des enjeux de taille pour nombre d’entreprises. Or, la pénurie de main-d’oeuvre qui s’intensifiera au cours des prochaines années promet de corser encore plus les choses. Il est donc essentiel d’agir maintenant et d’implanter des solutions visant à faciliter le recrutement, à susciter l’engagement et la mobilisation, et à favoriser la rétention du personnel. L’un des moyens d’atteindre cet objectif réside dans la marque employeur, une démarche qui permet de renforcer l’image et le pouvoir d’attraction de l’entreprise.


Nous tenons à re mercier Annie Veilleux et Natalie-Ann Shorteno, de Lafond Gestion, pour leur précieuse contribution à cet article.

  

Projeter une image forte, attirer les meilleurs employés, susciter l’engagement, voilà quelques effets de la marque employeur qui ne peuvent que créer de l’intérêt. D’autant que dans le contexte actuel, la main-d’oeuvre est une préoccupation. Non seulement se fait-elle de plus en plus rare et sollicitée, mais le multiculturalisme et la diversité des besoins qui caractérisent les différentes générations en poste rendent le recrutement et la rétention encore plus difficiles.

En quoi consiste la marque employeur ? Il s’agit d’une démarche visant à établir une image forte et attractive de l’entreprise, de façon à faciliter le recrutement et la fidélisation des employés de grande qualité. Le processus, qui se déroule sur plusieurs mois, permet de définir l’identité et les besoins de l’entreprise, ainsi que les perceptions et les attentes des employés. Pour ce faire, il importe de faire appel à des professionnels.

  

« La marque employeur est un concept relativement nouveau au Québec, explique Annie Veilleux, directrice générale de Lafond Gestion. La démarche consiste à mesurer le degré de cohérence entre les différents secteurs et messages de l’organisation, de façon à véhiculer une image forte et favoriser un marketing viral1 positif. »


Entreprise en difficulté : les principales erreurs à éviter lors d'une reprise


Votre entreprise est bien rodée et votre CA vous permet d’explorer d’autres alternatives pour augmenter l’envergure de votre activité ? Vous pensez reprendre une entreprise en redressement ou en liquidation judiciaire ? Au vu du nombre important de dépôts de bilan enregistrés en France (plus de 60.000 entreprises), il est, en effet, intéressant de s’orienter vers la reprise d’une entreprise en difficulté, afin de la remettre sur pied et de développer son activité.


Des difficultées diverses



Les difficultés d'une entreprise sont, toutefois, aussi diverses que les conditions qui y ont donné lieu. En effet, quelle que soit la raison de cette situation délicate, les modalités d'une reprise doivent se faire en étant en rapport direct avec la difficulté rencontrée. Ainsi, l'idée de faire une affaire à moindre coût ne doit pas détourner votre attention des risques liés à une telle opération. Voici donc les erreurs et les pièges à éviter lors de l'acquisition d'une entreprise en difficulté.



Ne pas se rendre compte des vices cachés



La situation réelle d'une entreprise en difficulté est souvent encore pire que ce que l'on croit. En effet, vous devez, d'abord, savoir que pour garder sa structure relativement opérationnelle, le dirigeant a du faire certains sacrifices. Qu'il s'agisse de retards au niveau du payement des fournisseurs, des exigences fiscales et sociales, ou de créances, ces dettes seront toujours présentes suite à votre acquisition ! Les reflexes de survie peuvent également concerner la qualité des moyens de production, touchant ainsi l'image de l'entreprise, sa gestion de la relation clients et la motivation du personnel.



Ayez, donc, la présence d'esprit de créer votre propre équipe de conseillers, qui saura identifier et anticiper les pièges et les erreurs à éviter, en effectuant un audit complet de l'entité avant de l'acquérir. Veillez, également, à vous entretenir avec le dirigeant, les représentants syndicaux et les salariés de l'entreprise, afin d'obtenir plus d'informations sur son état de santé réel.