Tuesday, January 28, 2014

Cinq conseils avant de vous lancer en affaires



Vous hésitez à faire le grand saut dans le monde des affaires. Nous avons pour vous cinq conseils simples pour vous aider à prendre votre décision.





Voici nos cinq conseils avant de vous lancer en affaires

1- Évaluer vos compétences

Pour réussir en affaires, il faut avoir des compétences techniques reliées au secteur de l’entreprise. Cependant, il faut beaucoup plus. Au démarrage de votre entreprise, vous serez responsable des ventes, de la comptabilité, de la gestion des ressources humaines et tous les autres secteurs de l’entreprise. Au départ, vous n’aurez probablement pas les moyens de vous entourer de conseiller dans ces domaines. Donc, vous devez avoir certaines attitudes reliées à ces tâches.

2- Pesez le pour et le contre

Être à la tête d’une entreprise pourra facilement vous demander 50, 60 et même des fois plus de 70 heures par semaine. Avant de débuter un projet, on doit se demander si on a vraiment le goût d’une telle aventure. Si vous n’êtes pas passionné par votre projet d’entreprise vous n’aurez pas une longue carrière comme entrepreneur. Vous devez également tenir compte des concessions que vous devrez faire. Jusqu’où seriez-vous prêt à aller pour atteindre vos objectifs? Comment concilieriez-vous vos activités avec votre vie familiale?

3- Rédiger un plan d’affaires

Il est prouvé que les gens qui ont investi du temps dans la rédaction d’un plan d’affaires ont un taux de survie plus élevé lorsqu’il démarre une entreprise. Même si vous croyez avoir une excellente idée de projet d’entreprise, il est préférable avant d’y investir temps et une partie de vos économies de prendre le temps de mettre par écrit votre projet. D’abord, c’est indispensable quand on veut renseigner et rassurer les investisseurs potentiels. Et plus, le plan d’affaires vous permettra de préciser vos objectifs. 

Une démarche pour attirer et retenir les meilleurs employés


Attirer une main-d’oeuvre de qualité et la fidéliser sont des enjeux de taille pour nombre d’entreprises. Or, la pénurie de main-d’oeuvre qui s’intensifiera au cours des prochaines années promet de corser encore plus les choses. Il est donc essentiel d’agir maintenant et d’implanter des solutions visant à faciliter le recrutement, à susciter l’engagement et la mobilisation, et à favoriser la rétention du personnel. L’un des moyens d’atteindre cet objectif réside dans la marque employeur, une démarche qui permet de renforcer l’image et le pouvoir d’attraction de l’entreprise.


Nous tenons à re mercier Annie Veilleux et Natalie-Ann Shorteno, de Lafond Gestion, pour leur précieuse contribution à cet article.

  

Projeter une image forte, attirer les meilleurs employés, susciter l’engagement, voilà quelques effets de la marque employeur qui ne peuvent que créer de l’intérêt. D’autant que dans le contexte actuel, la main-d’oeuvre est une préoccupation. Non seulement se fait-elle de plus en plus rare et sollicitée, mais le multiculturalisme et la diversité des besoins qui caractérisent les différentes générations en poste rendent le recrutement et la rétention encore plus difficiles.

En quoi consiste la marque employeur ? Il s’agit d’une démarche visant à établir une image forte et attractive de l’entreprise, de façon à faciliter le recrutement et la fidélisation des employés de grande qualité. Le processus, qui se déroule sur plusieurs mois, permet de définir l’identité et les besoins de l’entreprise, ainsi que les perceptions et les attentes des employés. Pour ce faire, il importe de faire appel à des professionnels.

  

« La marque employeur est un concept relativement nouveau au Québec, explique Annie Veilleux, directrice générale de Lafond Gestion. La démarche consiste à mesurer le degré de cohérence entre les différents secteurs et messages de l’organisation, de façon à véhiculer une image forte et favoriser un marketing viral1 positif. »


Le redressement d’entreprises en difficulté


Dans le contexte économique d’incertitude actuel, marqué par la crise financière qui secoue le monde mais surtout par une concurrence rude, de nombreuses entreprises voient leurs survies de plus en plus menacées par la triste réalité qui est la banqueroute.

L’un des moteurs essentiel de la réussite d’une entreprise passe par la qualité des produits mais également par un plan de financement. En effet, l’émergence de la qualité est un facteur stratégique de la croissance d’une entreprise et par conséquent de sa survie. Pour améliorer l’organisation et le fonctionnement d’une entreprise, la mise en œuvre d’un management de la qualité et d’un plan de financement s’impose.

Face aux difficultés de leurs entreprises, de nombreux entrepreneurs s’efforcent de rechercher des solutions adaptées pour parer à toute éventualité, notamment, celle du dépôt de bilan. Le redressement d’une entreprise en difficulté passe par la prise de conscience des défauts de gestion et de l’absence d’une conception claire de management.

Ces experts de la reprises tentent de remettre à flot le plus rapidement possible les entreprises aux bord du gouffre, parfois décriées leurs méthodes drastiques restent néanmoins un mal nécessaire afin d’éviter le précipice de la liquidation judiciaire.

La menace d’une banqueroute

Les entreprises qui sont en situation de passivité connaissent des difficultés financières, une perte de position sur leur marché, un manque de structuration mais aussi une dégradation financière et par conséquent l’augmentation de l’endettement.

La première phase de crise se résume par la stagnation des produits de vente, par la diminution de la rentabilité et par l’augmentation des coûts. Certaines entreprises se retrouvent du jour au lendemain sans ressources pour sortir d’un environnement concurrentiel. Comment ces entreprises pourront-elles se défendre ou survivre dans leur marché si elles ne se mettent pas à niveau le plus tôt possible, car, la menace planant sur leur tête, elles doivent se maintenir ou disparaître. 

Entreprise en difficulté : les principales erreurs à éviter lors d'une reprise


Votre entreprise est bien rodée et votre CA vous permet d’explorer d’autres alternatives pour augmenter l’envergure de votre activité ? Vous pensez reprendre une entreprise en redressement ou en liquidation judiciaire ? Au vu du nombre important de dépôts de bilan enregistrés en France (plus de 60.000 entreprises), il est, en effet, intéressant de s’orienter vers la reprise d’une entreprise en difficulté, afin de la remettre sur pied et de développer son activité.


Des difficultées diverses



Les difficultés d'une entreprise sont, toutefois, aussi diverses que les conditions qui y ont donné lieu. En effet, quelle que soit la raison de cette situation délicate, les modalités d'une reprise doivent se faire en étant en rapport direct avec la difficulté rencontrée. Ainsi, l'idée de faire une affaire à moindre coût ne doit pas détourner votre attention des risques liés à une telle opération. Voici donc les erreurs et les pièges à éviter lors de l'acquisition d'une entreprise en difficulté.



Ne pas se rendre compte des vices cachés



La situation réelle d'une entreprise en difficulté est souvent encore pire que ce que l'on croit. En effet, vous devez, d'abord, savoir que pour garder sa structure relativement opérationnelle, le dirigeant a du faire certains sacrifices. Qu'il s'agisse de retards au niveau du payement des fournisseurs, des exigences fiscales et sociales, ou de créances, ces dettes seront toujours présentes suite à votre acquisition ! Les reflexes de survie peuvent également concerner la qualité des moyens de production, touchant ainsi l'image de l'entreprise, sa gestion de la relation clients et la motivation du personnel.



Ayez, donc, la présence d'esprit de créer votre propre équipe de conseillers, qui saura identifier et anticiper les pièges et les erreurs à éviter, en effectuant un audit complet de l'entité avant de l'acquérir. Veillez, également, à vous entretenir avec le dirigeant, les représentants syndicaux et les salariés de l'entreprise, afin d'obtenir plus d'informations sur son état de santé réel.


Sunday, January 26, 2014

La stratégie d’entreprise


La stratégie d’entreprise permet de faire des choix d'allocation de ressources (financières, humaines, technologiques, etc.) qui accompagneront l’organisation dans le long terme dans le but de dégager un profit durable.

La finalité de la stratégie n’est pas seulement de dégager un profit ponctuel, mais d'assurer la pérennité de l'entreprise. Notion issue des sciences de la guerre, la première utilisation  du mot « stratégie » dans l'art des affaires résulte des travaux menés  par la Harvard Business School aux Etats-Unis (fin des années 50). Son fondement est qu'il faut éviter le "pilotage  à vue" pour assurer le devenir de l'entreprise.

On peut ainsi  définir la stratégie comme une suite de décisions et d’actions au service d’une politique. Elle se définit au niveau global (corporate strategy) mais aussi au niveau fonctionnel (business strategy ou stratégie de domaine : stratégie commerciale, financière...). Elle recherche à obtenir une compétence distinctive (on parle parfois de savoir-faire différentiel), source d’avantage compétitif et à garantir ainsi la compétitivité et la rentabilité de l'entreprise sur le long terme.
  
Cela implique de comprendre l’environnement pour modifier l’équilibre concurrentiel à son avantage.

La stratégie englobe la conception et le pilotage d’actions dans le but de saisir des opportunités tant internes qu’externes. Une décision stratégique est souvent irréversible et implique des changements de structure. Ces décisions peuvent engager l’entreprise sur le long terme : la stratégie relève de la gestion de l’incertitude. La stratégie doit être analysée comme un processus décisionnel complexe qui intègre les dimensions organisationnelles (internes) et environnementales (externes).

 La stratégie implique des objectifs, des activités, des axes de développement (spécialisation, expansion sectorielle, pénétration, diversification, internationalisation, ...Elle fait également appel à des moyens : financiers, humains, techniques. Elle  relève des prérogatives  de la  direction générale. Par opposition aux décisions tactiques, les décisions stratégiques remettent en cause une situation donnée et fixent de nouvelles orientations (produits, structure juridique, technologies,  ...). 



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