Tuesday, March 26, 2013

Bien choisir son logo, son enseigne et son slogan



Avec votre logo, vous voulez capter l’attention de vos prospects de vos clients, vous voulez qu’ils vous reconnaissent, vous voulez qu’ils se souviennent de vous, vous voulez les faire rêver, les rassurer, leur donner envie d’aller plus loin avec vous. Bref ! vous voulez que votre logo provoque chez eux le désir de franchir la porte du magasin, de vous téléphoner, de se connecter sur votre site Internet, de vous envoyer un mail ! Dans cet article nous revenons sur l'importance du logo et nous vous disons comment faire pour bien le choisir.

Un logo pour exister

Sans logo, vous ne pouvez exister aux yeux du public, de vos clients, ni de vos fournisseurs et de vos partenaires.

Mais n’oubliez jamais que votre logo seul ne suffit pas, il doit être complété à une enseigne et un slogan. C’est l’osmose réussie entre les trois concepts qui fera votre réussite.

Le choix d'un logo n'est pas quelque chose à prendre à la légère. Il doit être mûrement réfléchi !

Un logo qui correspond à vos engagements, à vos produits ou services

Votre logo doit représenter vos engagements, vos produits et services.

Le slogan doit être court mais percutant et doit facilement s'ancrer dans l'esprit des consommateurs.

Votre  slogan sera au même titre que votre logo, un élément qui permettra de vous distinguer de la concurrence, mais aussi un élément qui permettra aux consommateurs de se rappeler de votre enseigne.

Quelques exemples de slogans que vous connaissez, avant d’aller plus loin:

RENAULT : des voitures à vivre

PEUGEOT : Motion et Emotion

LEROY MERLIN : et vos envies prennent vie

AXA : Réinventons notre métier

LANCIA : L’élégance Le tempérament

GAN / C’est avec l’esprit libre qu’on avance

BMW Le plaisir de conduire

SAINT JAMES : né de la mer

CREDIT FONCIER : foncièrement dans la vie

WURTH : la fixation professionnelle





L'IMPORTANCE DE L'IMAGE DE MARQUE D'UNE ENTREPRISE



Qu’est-ce qu’une marque? Quand faut-il brander? Quelles sont les types d’image de marque et quand faut-il utiliser le « branding »? Ce sont quelques-unes des questions auxquels nous allons répondre dans cette série d’articles traitant sur l’image de marque et comment arrive-t-on à la bâtir.

Le branding est un mot très en vogue et une facette inévitable à exploiter pour vendre dans l’économie d’aujourd’hui. Dans sa forme la plus simple, la marque est un nom. Souvent associé à un produit, service ou bien une entreprise. Toutefois, une marque représente beaucoup plus de choses intangibles qu’un produit ou un service en soi. C’est un ensemble d’émotion et de perception gravitant autour de la qualité, l’image, le style de vie, l’attitude et le statut. Une marque est une personnalité complexe issue de la cohérence d’une multitude de facteurs qui ont pour objectif la création d’une perception dans l’esprit des consommateurs.

Cette perception doit dire au consommateur qu'il n'a pas de produit ou service sur le marché identique au vôtre. Une marque est donc le reflet d’une garantie, d’un bénéfice retiré pour le consommateur. Si vous ne pouvez pas convaincre les clients que votre produit est digne d'achat, aucune campagne publicitaire, emballages ou campagne de relations publiques vous permettra d’atteindre vos objectifs de vente. Par conséquent, la réussite d’une marque commence avec des produits et des services de qualités supérieurs, soutenus par un excellent service à la clientèle qui se reflète dans toute l'organisation.

L’une des vérités dans le monde des affaires est que les produits et services ont une forte tendance à se ressembler et que vos concurrents peuvent les reproduire en très peu de temps. Si génial soit votre idée, attendez-vous à être copié. Et encore pire, ils ne se contenterontprobablement pas seulement de vous copier mais aussi de l’améliorer et de lavendre à moindre coût pour gagner des parts de marché



Fabricants : découvrez comment les systèmes ERP améliorent la productivité de vos employés

La plupart des fabricants considèrent que ce sont leurs employés qui sont à la base de leur succès. La situation économique d'aujourd'hui a forcé les entreprises à changer leur stratégie : au lieu d'augmenter simplement leurs effectifs pour atteindre leurs buts, elles cherchent désormais à augmenter la productivité de leurs employés. Les systèmes d'information intégrés (de planification des ressources d'entreprise (ERP), par exemple), permettent de donner aux employés tous les moyens d'accroître leur productivité.



Les responsables consciencieux savent déterminer les tâches inutiles de leurs opérations : l'agitation provoquée par les recherches d'informations avant une réunion, le temps passé à délibérer des chiffres à utiliser, les processus manuels ralentissant la production. Ces désagréments risquent en fin de compte d'atténuer la satisfaction des clients. 



La mise en œuvre de pratiques professionnelles judicieuses, telles que la délégation des prises de décision vers les employés de première ligne, peut contrôler en partie ces opérations improductives. Mais elles ne peuvent être efficaces que si les responsables fournissent les bonnes informations au bon moment à leurs employés afin que ceux-ci puissent mener au mieux leurs obligations, et ce particulièrement en ce qui concerne les employés en contact avec la clientèle.



De nombreuses opportunités d'augmentation de la productivité des employés se rencontrent dans des domaines qui ne sont pas directement générateurs de coûts de fabrication ou de production. Cela peut sembler illogique compte tenu que le but des solutions ERP est de réduire les effectifs et les inventaires. Par exemple, si les activités d'une entreprise s'avèrent efficaces (force de travail productive et efficace, stock minimal de matières premières, inventaires en cours), peu d'opportunités d'amélioration se présenteront à elle en dehors de ces domaines. Cependant, l'utilisation d'un système ERP de pointe, tel que Microsoft Dynamics, peut malgré tout favoriser le développement d'un environnement qui pourrait indirectement mener à une augmentation de la productivité de la main-d'œuvre. 





PLANIFICATION STRATÉGIQUE



Faire croître une entreprise implique la prise de nombreuses décisions concernant le développement de vos opérations. La création d'un plan stratégique constitue une composante clé de la planification de la croissance. Cela vous aidera à établir une vision réaliste concernant l'avenir de votre entreprise et peut maximiser le potentiel de croissance de votre entreprise.



On ne doit pas confondre plan stratégique et plan d'affaires. Un plan d'affaires concerne les objectifs à court ou moyen terme et la définition des étapes nécessaires pour les atteindre. Un plan stratégique est habituellement axé sur les objectifs à moyen et à long terme d'une entreprise et explique les stratégies de base pour les atteindre.



Ce guide indique les principes de base du processus de planification stratégique. Il explique comment rédiger un plan stratégique, il souligne certains problèmes importants qu'il convient de garder à l'esprit et il montre de quelle façon passer de la planification à la mise en œuvre.



Objectif de la planification stratégique


Trois éléments clés de la planification stratégique


Commencer la planification stratégique


Élaborer votre plan en vous basant sur une analyse stratégique solide


Ce que doit comprendre un plan stratégique écrit


Certaines questions à considérer concernant la planification stratégique


Mise en œuvre d'un plan stratégique


OBJECTIF DE LA PLANIFICATION STRATÉGIQUE


L'objectif de la planification stratégique est de fixer les objectifs globaux pour votre entreprise et d'élaborer un plan pour les atteindre. Cela implique de prendre du recul par rapport à vos opérations quotidiennes et vous demander dans quelle direction se dirige votre entreprise et quelles devraient être ses priorités.


Pourquoi la planification stratégique est-elle plus importante pour les entreprises en croissance


Prendre la décision active de développer une entreprise signifie accepter les risques qui accompagnent la croissance. Le temps passé àidentifier où vous voulez amener votre entreprise, et la façon dont vous vous yrendrez, devrait vous aider à réduire et à gérer ces risques.


Monday, March 25, 2013

"Redressement d'entreprise: une affaire d'anticipation"



Les dirigeants d'entreprise tardent trop a utiliser les outils à la leur disposition pour s'attaquer aux difficultés qu'ils rencontrent. Et ce souvent par méconnaissance des dispositifs dont ils pourraient bénéficier.



Depuis quelques mois, les dirigeants sont confrontés à une détérioration du climat des affaires. Pour certaines entreprises, cette dégradation de l'environnement économique affecte la visibilité de l'activité et peut aller jusqu'à menacer la pérennité de l'exploitation. Dans ces conditions, attendre en espérant des jours meilleurs est la pire des solutions. Car le législateur a doté au fil des ans les dirigeants d'un arsenal d'outils de restructuration, qui peuvent être actionnés en dehors de tout cadre contentieux, avant même de constater une cessation de paiement. C'est d'ailleurs l'esprit de la Loi de sauvegarde des entreprises du 26 juillet 2005, complétée par l'ordonnance du 18 décembre 2008, qui a renforcé les méthodes de prévention pour les entreprises en difficultés. Amiables et confidentielles, leur taux de réussite est de plus de 80%.


Difficultés en amont


Quelles sont-elles ? Avant d'être aculé à une procédure de redressement ou de liquidation judiciaire, qui est subordonnée à la preuve d'une cessation de paiement (lorsque l'entreprise ne peut plus faire face à son passif exigible avec son actif disponible depuis plus de 45 jours), le dirigeant peut chercher à traiter ses difficultés en amont et à titre préventif. La procédure de conciliation ou le mandat ad'hoc consistent alors à mener une négociation confidentielle et à l'amiable avec les créanciers, tandis que la procédure de sauvegarde (inspirée du Chapter 11 du droit américain) permet de placer l'entreprise sous la protection de la justice et d'instaurer un plan dit de sauvegarde, destiné à réorganiser l'entreprise en vue de son redressement. Le voilà donc, l'intérêt, pour les dirigeants. Les dispositifs préventifspermettent de devancer les difficultés et ainsi, de maximiser les chances desurvie de l'entreprise




Des pistes pour la restructuration financière des entreprises en difficultés



Lorsque les difficultés s'accumulent, l'entreprise peut atteindre le niveau où elle ne pourra plus honorer ses engagements financiers. La cessation de paiement est alors prévisible. L'entreprise doit mettre en oeuvre des actions pour éviter cette situation. Elle peut agir seule ou mobiliser l'intervention d'acteurs extérieurs.

La situation de cessation de paiements intervient lorsque, techniquement, le passif exigible de l'entreprise ne peut plus être couvert par son actif disponible. Traduction : l'entreprise a des dettes qu'elle ne peut plus payer. Le chef d'entreprise a alors l'obligation de se déclarer en cessation de paiements.
Lorsque ce cas se présente, 2 scénarii sont possibles :

l'entreprise a réagi trop tard, n'a pas anticipé le traitement de ses difficultés et n'a pas pris de mesures pour empêcher la cessation de paiement : elle doit passer par le dépôt de bilan,

l'entreprise entrevoit à terme une situation de cessation de paiement et met en place des mesures pour éviter le dépôt de bilan.

Dans le second scénario, l'entreprise est encore maîtresse de son destin et de ses choix. Elle peut anticiper et agir seule. Sa priorité pour éviter la cessation de paiements est de faire rentrer de l'argent rapidement dans les caisses de l'entreprise. Pour ce faire, l'entreprise devra travailler les points suivants :

  • analyser son poste client et réclamer le paiement des factures impayées,
  • utiliser l'escompte, l'affacturage ou le dailly pour mobiliser rapidement de la trésorerie, sur ses factures émises en cours ou à venir,
  • réaliser des opérations de déstockage.
L'entreprise peut également chercher à limiter ses frais fixes. Elle peut mettre un terme à certains contrats de location. Les fraisgénéraux peuvent être réduits.